Quand on se rend compte que le fragile édifice psychique que l’on construit tous les matins pour fonctionner un minimum peut être balayé par une banale, courte, et très inoffensive maladie (seulement désagréable, tout au plus), on se dit qu’il y a quelque chose à faire pour mettre son mental un peu plus en ordre de bataille de façon à faire face aux ennuis plus graves qui ne manqueront pas d’arriver avec le vieillissement inéluctable des cellules. Et on se rend compte aussi qu’il y a pas mal de nettoyage à faire pour repartir sur des bases saines.