J'ai rompu hier ma diète de livres en papier pour m'acheter deux livres de la catégorie littérature hispanique et hispano-américaine que j'aime tant: "Anatomie d'un instant" de Javier Cercas et "L'homme qui aimait les chiens" de Leonardo Padura. Les seuls livres dont j'ai décidé de ne pas me séparer, dans la sévère cure d'amaigrissement que je m'impose, sont ceux de littérature espagnole et hispano-américaine traduits en Français. Je ne les vire pas parce que j'y suis attaché exagérément (le plaisir de lecture qu'ils m'ont donné), parce que je ne lis pas encore couramment le castillan dans le texte et qu'on ne trouve pas ces livres dans le format numérique qui me convient (Kindle) (quoiqu'il faudrait que je regarde si on ne les trouve pas sur une liseuse FNAC).
Je travaille presque chaque jour à améliorer ma compréhension de l'Espagnol afin de le lire dans le texte mais je sais d'expérience qu'il faut être patient pour apprendre un langue (bien que j'en possède les bases apprises au lycée par l'inestimable professeur Rabaté — qu'est-il devenu d'ailleurs?).