Si vous aimez les "fugues à l'anglaise", les "journées à la mer", le "joli monde bai du fleuve de janvier", les "ballades nocturnes à l'heure du péché", la vision d'un "piano à queue noir en pleine mer", les êtres "imperméables sur lesquels il pleut si bien", un "orage qui fait de grands gestes gris", une "clarté pleine de vertiges", la "silencieuse chasse apache" de la séduction et la fameuse "note
blue", alors écoutez Paolo Conte encore et toujours dans la nuit d'été.