Il se trouve que je suis passionné d'aviation depuis vingt ans environ et que je lis énormément de choses sur ce sujet. Voici donc mes suppositions sur le sort du vol 447, elles se basent sur toutes les informations que j'ai pu glaner à travers le web, par les canaux d'information habituels, les forums, les blogs de spécialistes et de professionnels.
En gros voilà ce que je crois : c'était la nuit et il faisait un temps exécrable, beaucoup de turbulences à cause de la traversée d'un orage tropical. Un ou plusieurs instruments de calcul de la vitesse de l'avion (les fameux tubes de Pitot) sont givrés ou bouchés par de la glace, il y a désaccord entre les données des uns et des autres, le système informatique signale cette anomalie aux pilotes et fait ce qu'il est sensé faire dans ce cas là : il débranche le pilote automatique et demande au pilote de reprendre le manche. Mais piloter un avion à cette altitude et avec les turbulences subies n'est pas chose facile, surtout si les données de vitesse sont erronées. Le pilote peut penser qu'il ne va pas assez vite et qu'il va "décrocher" c'est à dire perdre sa portance ou croire qu'il va trop vite et ralentir la poussée des réacteurs ce qui a pour effet de le faire décrocher pour de bon. De toutes façons l'avion peut aussi bien décrocher parce qu'il va trop vite ou parce qu'il ne va pas assez vite. Ou, autre possibilité, le pilote ne parviens pas à stabiliser son avion dans les turbulences et se retrouve dans une position peu maniable, sur le coté ou sur le dos ou en roulis. Enfin l'avion se disloque du fait d'une trop grande vitesse et/ou d'un effort trop important sur ses structures. Il s'est apparemment passé quatre minutes entre le moment où le pilote automatique a été débranché et le dernier message de maintenance de l'avion signalant la cabine en dépressurisation. C'est un scénario possible, il en existe d'autres. À suivre...
En gros voilà ce que je crois : c'était la nuit et il faisait un temps exécrable, beaucoup de turbulences à cause de la traversée d'un orage tropical. Un ou plusieurs instruments de calcul de la vitesse de l'avion (les fameux tubes de Pitot) sont givrés ou bouchés par de la glace, il y a désaccord entre les données des uns et des autres, le système informatique signale cette anomalie aux pilotes et fait ce qu'il est sensé faire dans ce cas là : il débranche le pilote automatique et demande au pilote de reprendre le manche. Mais piloter un avion à cette altitude et avec les turbulences subies n'est pas chose facile, surtout si les données de vitesse sont erronées. Le pilote peut penser qu'il ne va pas assez vite et qu'il va "décrocher" c'est à dire perdre sa portance ou croire qu'il va trop vite et ralentir la poussée des réacteurs ce qui a pour effet de le faire décrocher pour de bon. De toutes façons l'avion peut aussi bien décrocher parce qu'il va trop vite ou parce qu'il ne va pas assez vite. Ou, autre possibilité, le pilote ne parviens pas à stabiliser son avion dans les turbulences et se retrouve dans une position peu maniable, sur le coté ou sur le dos ou en roulis. Enfin l'avion se disloque du fait d'une trop grande vitesse et/ou d'un effort trop important sur ses structures. Il s'est apparemment passé quatre minutes entre le moment où le pilote automatique a été débranché et le dernier message de maintenance de l'avion signalant la cabine en dépressurisation. C'est un scénario possible, il en existe d'autres. À suivre...