dimanche 8 juin 2008
temps de cerveau disponible
Ça ne va pas du tout, je passe une grande partie de mes weekends à dormir. Chaque weekend c'est pareil alors que j'ai plein de choses à faire : finir ma trad pour AEF, travailler sur un site web et le mien par la même occasion, écrire, lire, aller faire des photos et les développer, faire un peu de ménage et de rangement afin que la tanière ressemble un peu moins à une tanière...
La semaine est presque entièrement consacrée au travail à la Base (où il serait bien que j'arrive plus tôt afin d'en partir plus tôt, les horaires libres c'est bien sauf pour les gens qui n'arrivent pas à ne pas être au travail et ceux qui, comme moi, n'arrivent pas à prendre leur travail avant neuf heures et demie bon poids, c'est facile on est obligé à rien alors on se laisse aller à ses penchants). Donc la semaine se passe au travail rémunérateur et il ne reste presque plus rien pour les hobbies surtout lorsqu'ils sont nombreux et qu'il sont en compétition pour un peu de bande passante. Il faut donc que je profite du weekend à fond. En même temps je n'aime pas trop cette frénésie d'activité. Deux envies contradictoires l'envie de glander (et de dormir) et l'envie de faire des choses. Néanmoins il faut que j'optimise mon temps de cerveau disponible, allez...
Une chose que j'ai compris cette semaine alors que je m'ennuyais un peu à une conférence, c'est que j'écrivais beaucoup plus facilement et avec beaucoup moins d'inhibitions à la main, avec un crayon, à l'ancienne quoi. Je ne comprends pas vraiment pourquoi mais le clavier à tendance (sauf à de rares exceptions) à me bloquer. Quand j'écris sur un carnet je commence par gribouiller, à écrire des mots divers et puis d'un coup ça part, c'est fluide et aisé. Dorénavant j'écris dans un carnet, un cahier, une feuille avant de recopier et d'amender au clavier, bonne solution à mon problème de page blanche (ou d'angoisse de...).