mercredi 9 mai 2007

tu quoque

Il y a quelque chose de vraiment terrifiant à voir les députés bayrouistes qui avaient dit et écrit pis que pendre du nouveau Président de la République, d'un seul coup d'un seul aller à la soupe chez leur nouveau maître. Si encore il n'y avait que Santini, ou de Robien, mais voilà que des gens que j'estimais comme Jean-Louis Bourlanges ou Hervé Morin passent du coté obscur de la force! La politique c'est épouvantable!